H.P. Lovecraft
Un jour je vis en
rêve un monde merveilleux
Vers toi le vent
m’entraîne et je n’ose ouvrir les yeux.
O Celephaïs avec tes
délicieuses odeurs,
Tes collines
verdoyantes et tes prairies en fleur.
Que la nuit soit
éternelle si tel est ton désir,
Car il n’y a qu’en
ton sein, que je puis mourir.